Gênes |
| Le
lendemain matin, nous gagnons Gênes dont le port - le plus important
d’Italie - s’étend sur plus de 30 km de côtes. |
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| Le palais ducal (1778)
s’impose par sa façade monumentale. Les autres palais qui enserrent
la piazza Ferrari ne sont pas moins impressionnants. |
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| Lorsqu’on
entre dans les petites ruelles, les bâtiments deviennent beaucoup
plus modestes mais gagnent en charme. Le baroque génois a un petit
air d’Orient avec ses fenêtres « en pointe ».
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| L’église
San Maddalena est sûrement la plus célèbre de Gênes
car située au coeur du quartier des tisseurs. Au XVIIIème
siècle en effet, les Génois tissaient le velours, fabriquaient
les baldaquins et leur art était connu dans tout le bassin méditerranéen. |
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| Un peu en retrait
du centre historique, nous pénétrons dans la via Garibaldi
où la haute bourgeoisie de Gênes a fait édifier de somptueux
palais vers le milieu du XVIème siècle. |
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| Si les façades
sont belles, souvent décorées de trompe-l’œil,
les cours intérieures n’en sont pas moins intéressantes.
Celle du palais Doria Tursi (actuel hôtel de ville) est ceinte de
deux galeries d’arcades. |
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| Nous
gagnons l’ancien port qui a pour toile de fond l’admirable
Palais San Giorgio du XIIIème siècle et ses trompe-l’œil
colorés. |
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| Complètement
refait en 1992 à l’occasion des Colombiades, le vieux port
s’étend autour du Bigo, sorte de grue, œuvre de Renzo
Piano. |
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| A coté de l’Acquario,
le plus grand aquarium européen, mouille le magnifique bateau de
pirates avec Jupiter en figure de proue, qui a servi au tournage du film
Pirates de Polanski. |
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| Nous quittons Gênes
après avoir acheté un pandolce, spécialité locale
qui ressemble à un gros cake fourré de fruits confits ! Un
peu « étouffe-chrétien » quand même ! |
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